Parcelle dans un JARDIN PARTAGÉ

Ma parcelle fait 75 M2, au départ , sous le prétexte que la terre, anciennement maraîchère était polluée, celle-ci a été enlevée et remplacée par 10 a 15 cm de sable. En arrivant j ai apporté le plus possible de la matière organique et aussi importé des vers de terre prélevés sur une pelouse.
La première année les résultats n étaient pas très bons maintenant, c est la cinquième année, j ai de très beaux légumes.

Il arrive que la terre soit polluée, notamment à proximité d'échangeurs routiers ou sur des friches industrielles...

Il arrive aussi qu'il y a intérêt à ce que cela coûte beaucoup - je ne cesse de croiser des "projets de jardins partagés" avec des budgets publics de plusieurs centaines de milliers d'euros... Il faut que cela coûte car l'élu s'en vante pour être réélu (500 000 € pour l'écologie, cela impressionne). Et puis les bureaux d'étude, c'est leur gagne-pain. Et puis le paysagiste, c'est son business... Quand on touche x %, il vaut faire le suivi d'un chantier à 500 000 € qu'à 5 000 € !

A noter : il ne faut pas mettre tout sur le dos des élus et des bureaux d'étude ; il n'est pas rare que les "porteurs de projets", associations, etc soient tout aussi cons et tout aussi fiers d'avoir obtenu un budget de tant de tant... Un président d'association, parfois, c'est comme un élu : avoir le plus gros et s'en vanter ! Je parle de budget.

did67 a écrit:

Il arrive que la terre soit polluée, notamment à proximité d'échangeurs routiers ou sur des friches industrielles...

Il arrive aussi qu'il y a intérêt à ce que cela coûte beaucoup - je ne cesse de croiser des "projets de jardins partagés" avec des budgets publics de plusieurs centaines de milliers d'euros... Il faut que cela coûte car l'élu s'en vante pour être réélu (500 000 € pour l'écologie, cela impressionne). Et puis les bureaux d'étude, c'est leur gagne-pain. Et puis le paysagiste, c'est son business... Quand on touche x %, il vaut faire le suivi d'un chantier à 500 000 € qu'à 5 000 € !

A noter : il ne faut pas mettre tout sur le dos des élus et des bureaux d'étude ; il n'est pas rare que les "porteurs de projets", associations, etc soient tout aussi cons et tout aussi fiers d'avoir obtenu un budget de tant de tant... Un président d'association, parfois, c'est comme un élu : avoir le plus gros et s'en vanter ! Je parle de budget.

et dans cette équipe il faut rajouter le journaleux indépendant, qui est payé à la pige, essayer de placer un projet de 500 000€ c'est plus facile et ça fait plus de lignes, bon en temps de disette, la tombola du club de pétanque ça passe..., et la photo de l'élu c'est la cerise sur le gâteau

donc c'est comme un trou noir, un gros budget est attractif, il attire et comme un trou noir, il fait disparaître les fonds publiques